Le père de l’investissement socialement responsable (ISR) en France fait porter la faute à la duplicité de l’Homme pour expliquer l’absence de mise en œuvre de ses préconisations pourtant "simples". L’Union européenne se porte mal parce que les nations qui la constituent ne savent plus habiter ensemble la « demeure commune ». Au « débat », Xavier de Bayser préfère "l’échange" qui permet l’écoute réciproque des paroles. Toute sa vie, l’économiste s’est ingénié à démontrer la compatibilité entre "la finance et le développement", entre "gagner beaucoup d’argent" et "l’impact social important".
Dans "Le défi de la simplicité : Un chemin vers une croissance plus équitable" , l’auteur propose des solutions dites simples pour mettre fin à la malnutrition, la faim, les grandes pandémies ; relancer la croissance, rééquilibrer le budget et réguler les flux migratoires. Le privé s’avérerait plus apte à répondre aux problèmes contemporains que la politique. Ariane de Rothschild, présidente du comité Exécutif du Groupe Edmond-de-Rothschild, préface l’ouvrage qui s’intéresse entre autres aux plantes qui guérissent mieux que les médicaments. Xavier de Bayser explique pourquoi la luzixine, l’extrait foliaire de luzerne, pourrait résoudre la plupart des maladies associées à la malnutrition dans l’émission de Louis Daufresne.
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