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En ce 10 juin nous fêtons à Paris saint Landry, qui fut évêque de la ville au VIIe siècle, et dont on peut notamment retenir l’œuvre très noble d’avoir fondé l’Hôtel-Dieu. Mais c’est d’une bienheureuse du Moyen-Âge, Diane d’Andalo, que je vous entretiens aujourd’hui ainsi que je l’ai promis hier ! Renoncer à la frivolité, mettre un terme à sa vie mondaine, sont des formules que l’on retrouve dans bien des vies de saints. Et si l’on y songe, il est affreusement difficile de réussir ce mouvement profond de la conversion, qui nous fait passer de la superficialité vaine à la vie de Dieu, qui est la vie du vrai bonheur mais qui paraît souvent si aride…
Seigneur, tu as donné à la bienheureuse Diane la beauté visible et temporelle, et lui as enseigné à travailler à la beauté éternelle ; qu’à sa prière et à son exemple nous trouvions, là où nous sommes, le chemin de l’amour véritable.
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