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Auteur de «Paroles d’honneur» (Fayard)
Qui parle encore de la jeunesse ? Qui s’intéresse à lui apprendre la vie ? Le mot même de jeunesse n’a-t-il pas vieilli, comme s’il avait caractérisé une période euphorique entre les années 60 et 80. Et peut-on le conjuguer au singulier ? Certes, le général de Villiers sait ce que ce mot signifie encore. L’armée, où il a fait sa carrière, est une institution encore jeune et c’est la cohésion qui la caractérise. Il pense transmettre aux autres jeunes ce qui se fait encore dans le cadre militaire, où l’on s’instruit pour vaincre, autour de principes de vie tels que le courage, le devoir, la fidélité. Il manque à la France une épopée napoléonienne, pour que les jeunes quittent leur canapé et leurs réseaux sociaux. Mais ça c’est une autre histoire. Quoique.