
Ce site web utilise des cookies nous permettant d'analyser notre trafic et d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux.
En savoir plus sur notre politique de confidentialité
Avec Thibault de Montbrial, président du Centre de réflexion sur la sécurité intérieure, avocat au barreau de Paris, avocat de Florence Bergeaud-Blackler et Jacques Huntzinger, ancien ambassadeur de France, secrétaire général des Ateliers culturels méditerranéens
Les deux prétendants au pouvoir en Turquie, le président sortant Recep Tayyip Erdogan et son adversaire, Kemal Kiliçdaroglu, se disent tous deux en mesure de l’emporter à l’issue du scrutin de dimanche, lors d’un second tour le 28 mai qui semble désormais avéré. Après une élection qui a vu une mobilisation sans précédent de l’électorat, malgré la crise et trois mois après le séisme dévastateur du 6 février, le « reis » de 69 ans affirme être « clairement en tête » de la présidentielle, mais prêt à « respecter » un second tour s’il est nécessaire. Face à lui, le social-démocrate Kemal Kiliçdaroglu, un ancien haut fonctionnaire de 74 ans qui emmenait une coalition inédite de six formations de l’opposition, était donné régulièrement en tête par les instituts de sondages, même d’une courte tête. Mais selon les résultats portant sur 95% des bulletins, il totalisait tout juste 45% des voix. Jacques Huntzinger, ancien ambassadeur, analyse les enjeux de cette élection, tandis que Thibault de Montbrial, président du Centre de réflexion sur la sécurité intérieure (CRSI), resitue l’événement au regard des problématiques sécuritaires en France.
Ne manquez rien des productions de Radio Notre Dame.
Vous pourrez vous désabonner à tout moment.