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Le Grand Témoin • 07h35
Nikita KRIVOCHÉINE, ancien interprète auprès de différentes organisations internationales, l’un des derniers survivants du goulag soviétique. Auteur de « Des miradors à la liberté » (Life)
Résistance, ce mot paraît quelque peu vieilli au regard de l’histoire mais il prend tout son sens quand on le fait rimer avec espérance qu’on le ramène à la vie de Nikita Krivochéine – qui s’est fait récemment remarquer par la publication en français de son témoignage intitulé Des miradors à la liberté. Cela valait bien une place dans Le Grand Témoin. Les jeunes générations oublient ce que fut le système soviétique qui superposa une idéologie à la réalité russe. Nikita Krivochéine est né en 1934. Il a 87 ans, dans une famille de la noblesse ayant fui le communisme. Son histoire est celle d’un retour en URSS, en 1948, avec ses parents qui ont cru retrouver une Russie apaisée. De 1957 à 1971, date de son retour en France grâce au président Pompidou, il va vivre et voir ce qu’était l’URSS.