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Journaliste, auteur d’un livre sur l’enquête sur l’attentat de la Rue Copernic (1980)
Le Canada va « regarder attentivement la décision » de la cour d’assises française qui a condamné le Libano-Canadien Hassan Diab à la réclusion criminelle à perpétuité pour l’attentat à la bombe contre la synagogue de la rue Copernic à Paris il y a 43 ans. C’est ce qu’a déclaré Justin Trudeau. L’attentat avait fait quatre morts et des dizaines de blessés en octobre 1980. A une époque où l’ADN, les caméras de surveillance et la téléphonie mobile n’existaient pas, les enquêteurs avaient fourni un travail remarquable pour reconstituer l’identité du commando et remonter à Hassan Diab. Mais d’autres errements judiciaires lui ont permis d’être libéré en 2014, neuf avant d’être reconnu coupable par la France. Clément Weill-Raynal raconte cette invraisemblable saga en expliquant la manière dont l’enquête a été sabotée.